Nous n'avions jamais gravi notre "Fuji-Yama Provençal" au sommet duquel on a relevé en 1967 un mistral soufflant à 316km/h (véridique!). Coup de chance, le vent ne soufflait pas aujourd'hui mais nous avons du supporter une chaleur inhabituelle pour un début de mois d'octobre. Un grand coup de chapeau à tous ceux qui ont pu arriver au sommet après avoir traversé des paysages uniques (forêts de pins, de cèdres, de hêtres, de chênes, anciennes bergeries, vallons isolés, pentes abruptes, pierriers difficiles...). Promis, c'était le seul parcours vraiment technique et parfois un peu trop physique de la saison, mais l'effort valait sans doute la peine d'être accompli?

 L'arrivée au Jas de Serre, première bergerie rencontrée sur le parcours

 L'ancienne bergerie du Jas du Mourre

 Près du Jas du Mourre, nous avons pris des forces avant d'attaquer une montée difficile

 Au milieu des chênes et des hêtres du début de la Combe Fiole

 Traversée de la Combe Fiole: la zone désertique du sommet n'est plus très loin

 Quelques instants de pause pour souffler et attendre les moins rapides

 Le Rocher de l'Aiguille dans la Combe Fiole